L'enquête sur la crise de la loi martiale en Corée du Sud s'intensifie rapidement avec la perquisition surprise de la résidence présidentielle par la police
Les données de Jinshi du 11 décembre ont indiqué que mercredi, un responsable de la sécurité du président de Corée du Sud a déclaré que la police sud-coréenne avait perquisitionné le bureau du président et mené une enquête plus large sur cet homme politique en difficulté. Un responsable du service de sécurité du président a confirmé que la police avait perquisitionné le bureau de Yoon Suk-yeol. Selon l’agence de presse Yonhap, les enquêteurs ont présenté un mandat de perquisition désignant Yoon Suk-yeol comme suspect. Cette perquisition marque une escalade rapide de l’enquête sur Yoon Suk-yeol et les hauts responsables de la police et de l’armée sud-coréennes. Selon l’agence de presse Yonhap, lors de cette perquisition, Yoon Suk-yeol n’était pas au bureau présidentiel. Sa résidence officielle est ailleurs. Depuis ses excuses publiques samedi dernier pour avoir tenté d’imposer la loi martiale, Yoon Suk-yeol ne s’est pas montré en public.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
3 J'aime
Récompense
3
2
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
SARA02
· 2024-12-11 04:24
To Da Moon 🌕To Da Moon 🌕To Da Moon 🌕To Da Moon 🌕To Da Moon 🌕To Da Moon 🌕
L'enquête sur la crise de la loi martiale en Corée du Sud s'intensifie rapidement avec la perquisition surprise de la résidence présidentielle par la police
Les données de Jinshi du 11 décembre ont indiqué que mercredi, un responsable de la sécurité du président de Corée du Sud a déclaré que la police sud-coréenne avait perquisitionné le bureau du président et mené une enquête plus large sur cet homme politique en difficulté. Un responsable du service de sécurité du président a confirmé que la police avait perquisitionné le bureau de Yoon Suk-yeol. Selon l’agence de presse Yonhap, les enquêteurs ont présenté un mandat de perquisition désignant Yoon Suk-yeol comme suspect. Cette perquisition marque une escalade rapide de l’enquête sur Yoon Suk-yeol et les hauts responsables de la police et de l’armée sud-coréennes. Selon l’agence de presse Yonhap, lors de cette perquisition, Yoon Suk-yeol n’était pas au bureau présidentiel. Sa résidence officielle est ailleurs. Depuis ses excuses publiques samedi dernier pour avoir tenté d’imposer la loi martiale, Yoon Suk-yeol ne s’est pas montré en public.