L'euro vacille face à la livre. EUR/GBP tombe en dessous de 0,8660, rompant une tendance haussière. Il se négocie maintenant près de 0,8654. Il semble que les signaux économiques disparates entre la zone euro et le Royaume-Uni jouent un rôle.
La zone euro a montré une certaine résistance. L'indice PMI manufacturier a augmenté à 50,7 en octobre. Surprenant. Le sud de l'Europe a mené la reprise. Même l'Allemagne s'est améliorée. Le secteur privé a connu sa croissance la plus rapide depuis plus d'un an.
Royaume-Uni, une autre histoire. Son industrie en récession. L'indice PMI manufacturier est tombé à 46,8. Douze mois consécutifs de contraction. Les nouvelles commandes et les exportations en chute libre. Les droits de douane américains n'aident pas.
Le chômage dans la zone euro est resté à 6,1 %. Stable. Le marché du travail tient bon, malgré tout.
Que vient-il ? Les yeux rivés sur la BCE. Cipollone et Lagarde s'exprimeront bientôt. Mardi, données d'inflation. On s'attend à ce que l'IPC sous-jacent reste à 2,1%. Le général, à 1,9%. Il n'est pas tout à fait clair comment le marché réagira.
La BCE, à Francfort, est clé. Il gère les taux et la politique monétaire. Il cherche à maintenir l'inflation près de 2%. Il augmente ou réduit les taux selon les besoins. Des taux élevés renforcent généralement l'euro. Et vice versa.
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L'euro vacille face à la livre. EUR/GBP tombe en dessous de 0,8660, rompant une tendance haussière. Il se négocie maintenant près de 0,8654. Il semble que les signaux économiques disparates entre la zone euro et le Royaume-Uni jouent un rôle.
La zone euro a montré une certaine résistance. L'indice PMI manufacturier a augmenté à 50,7 en octobre. Surprenant. Le sud de l'Europe a mené la reprise. Même l'Allemagne s'est améliorée. Le secteur privé a connu sa croissance la plus rapide depuis plus d'un an.
Royaume-Uni, une autre histoire. Son industrie en récession. L'indice PMI manufacturier est tombé à 46,8. Douze mois consécutifs de contraction. Les nouvelles commandes et les exportations en chute libre. Les droits de douane américains n'aident pas.
Le chômage dans la zone euro est resté à 6,1 %. Stable. Le marché du travail tient bon, malgré tout.
Que vient-il ? Les yeux rivés sur la BCE. Cipollone et Lagarde s'exprimeront bientôt. Mardi, données d'inflation. On s'attend à ce que l'IPC sous-jacent reste à 2,1%. Le général, à 1,9%. Il n'est pas tout à fait clair comment le marché réagira.
La BCE, à Francfort, est clé. Il gère les taux et la politique monétaire. Il cherche à maintenir l'inflation près de 2%. Il augmente ou réduit les taux selon les besoins. Des taux élevés renforcent généralement l'euro. Et vice versa.